dimanche 1 décembre 2013

La géothermie, l'autre prélèvement à la source

La géothermie, l'autre prélèvement à la source Par Florent Detroy, rédacteur de Matières à Profits Avec un coût du Kwh moins cher de 20 à 25% que le nucléaire, des émissions de CO2 quasi nulles et une énergie régulière toute la journée, la géothermie concentre à première vue les avantages du pétrole avec ceux des énergies renouvelables. Etonnement oublié depuis les années 1990, le secteur de la géothermie en France bout à nouveau. Fonroche mène la danse Tous les regards sont tournés cette année vers la société Roquette, fabricant d'amidon. L'équipe que le groupe agroalimentaire forme avec la société Ecogi -- dont EDF est partie prenante -- et la Caisse des Dépôts viennent de lancer le premier forage de la future centrale géothermique de Rittershoffen (Bas-Rhin). L'ambition de projet est d'alimenter en chaleur l'amidonnerie de l'usine située à Beinheim, dans le Bas-Rhin. Si ce projet est une première en France, la géothermie attire de plus en plus d'acteurs. Depuis deux ans, les autorisations de forage délivrées par l'Etat se sont multipliées. 10 permis de recherche pourraient être attribués rien que pour cette année et 10 autres sont en train d'être étudiés. Un des acteurs les plus en vue dans cette relance concerne le spécialiste du solaire, Fonroche, qui a déposé à lui seul 8 permis de forer. Un permis lui a été accordé cette année à Pau, et un autre pour un projet à Strasbourg. Dans cette dernière ville, la société devrait forer à 4 000 mètres de profondeur pour y récupérer une des autres richesses profondes de la terre : de l'eau à 150 degrés Celsius. Car la géothermie, c'est est aussi simple que ça. Il s'agit d'avoir accès en forant à des réservoirs d'eau chaude présents jusqu'à 6 000 mètres de profondeur. On remonte ensuite l'eau en surface, pour la "turbiner" (comprenez l'utiliser dans des turbines) et produire de l'électricité. L'eau peut également être utilisée comme moyen de chauffage. Toute la difficulté est de trouver une nappe d'eau chaude suffisamment importante pour pouvoir y réinjecter l'eau froide et de construire ainsi un circuit fermé. Aux côtés de Fonroche, les acteurs comme EDF, propriétaire de la seule centrale géothermique en France métropolitaine située à Soultz-sous-Forêts dans le Bas-Rhin, ou GDF s'y mettent. 10 000 emplois en 10 ans Le potentiel affiché par les industriels fait effectivement envie. Si les forages de Fonroche dans le quartier strabourgeois de Hautepierre sont fructueux, la société pourrait fournir près de 80% de l'eau chaude de Strasbourg. Pour exploiter ce potentiel en France, le groupe s'est dit prêt à investir près de 400 millions d'euros dans le secteur. Au total, Fonroche estime que le marché pourrait permettre de créer jusqu'à 10 000 d'emplois d'ici 10 ans. Outre son faible coût et son atout social, la géothermie a l'avantage d'être une énergie qui n'a pas besoin de matières premières pour produire de l'électricité, comme le biogaz, le bois énergie ou pire encore la centrale à gaz. En outre, c'est une source d'énergie qui est décentralisée. Chère au chercheur Jeremy Rifkin, la décentralisation de l'énergie permet d'économiser les coûts de transports de l'énergie, et mène vers une gestion plus locale de l'énergie. On comprend que le gouvernement s'y soit intéressé. Le Grenelle de l'Environnement avait fixé pour objectif la multiplication par six de la production de chaleur par géothermie, avec pour objectif la production de 80 mégawatts dans l'électricité d'ici à 2020.

vendredi 29 novembre 2013

Signal vendeur sur NZD/CAD

vendredi 30 août 2013

Découverte d’un système de trading

 

Heureuse découverte ces derniers temps. Occupé à surfer sur inernet et déçu de mon dernier travail de recherche de système de trading correspondant à mon profil d’investisseur, un twitt attire mon attention. Un twitt tout simple de karen

Karen Peloille@KarenPeloille 2 Août

Ichimoku : LS = Lagging Span, TS = Tenkan, KS = Kijun, SS = Senkou Span (nuage)

Et ceci changea ma vision du trading.

A+

    jeudi 7 février 2013

    Apiculture cinq priorités de la recherche apicole.

    L'abeille mellifère est menacée. Depuis la dissémination de l'acarien Varroa originaire d'Asie, il n'y a pour ainsi dire plus aucune population d'abeilles sauvages sous nos latitudes. En raison de la propagation de maladies et de parasites due à l'échange international de marchandises, la menace ne cesse d'augmenter. Aujourd'hui, l'abeille mellifère dépend de l'apiculteur pour sa survie. Elle est le seul animal de rente qui doit être protégé par une convention de protection de l'ONU (1998 Sao Paulo Declaration).

    Sachant que chaque troisième bouchée que nous avalons dépend de la pollinisation et qu'environ 80% de celle-ci est effectuée par les abeilles, l'objectif principal de tous les efforts en matière de recherche apicole doit être le maintien d'une pollinisation sur l'ensemble du territoire afin de garantir l'alimentation. Or, la pollinisation ne peut être assurée que par une apiculture fonctionnant correctement. En Suisse, une apiculture axée sur la pollinisation selon le modèle américain n'est pas envisageable. La motivation des apiculteurs-trices repose par tradition sur des intérêts de protection de la nature, un certain idéalisme et la volonté de produire des produits apicoles uniques et authentiques. Aussi, selon le point de vue de la recherche, il faut fixer les priorités suivantes:

    1. une conduite du rucher selon le principe de durabilité pour assurer le bon fonctionnement de l'apiculture en Suisse

    2. une lutte durable contre les maladies et les parasites des abeilles pour maintenir une apiculture qui fonctionne correctement et pour produire des produits apicoles sans résidus

    3. la protection des abeilles par l'application de mesures agricoles et de modifications de l'environnement doit permettre une pratique apicole sur l'ensemble du territoire suisse

    4. la production de produits apicoles de haute qualité, l'une des motivations de la pratique apicole

    5. un transfert des connaissances optimal afin que les quelque 20`000 apiculteurs-trices suisses soient en mesure de pratiquer l'apiculture en appliquant les résultats scientifiques les plus récents

    Objectifs de la recherche apicole

    • Maintenir une pollinisation sur l'ensemble du territoire pour assurer l'alimentation de la population
    • Assurer le bon fonctionnment de l'apiculture en Suisse
    • Produire des produits apicoles suisses de qualité élevée: miel, pollen, gelée royale, cire, propolis et venin d'abeilles
    • Actualiser l'état des connaissances des apiculteurs-trices et faire en sorte qu'ils-elles travaillent selon les bonnes pratiques de fabrication (BPF)



    Source:Agroscope - Centre suisse de recherches apicoles

    dimanche 3 février 2013

    L'huile de palme, quelles conséquences pour l'environnement ?

    Huile de palme et déforestationwww.ecolomania.com
    Très prisée par les industries alimentaires ou cosmétiques l'huile de palme continue de faire des ravages à travers le monde et notamment en Indonésie.
    Dès les années 90 se levaient les premiers avertissements concernant l'exploitation abusive des palmiers à huile. Et pourtant, encore aujourd'hui la culture du palmier à huile en Indonésie est responsable à elle seule de plus de 13% de la déforestation mondiale mettant en péril l'habitat naturel d'un grand nombre de plantes, de mammifères et d'oiseaux.

    L'huile de palme responsable de la déforestation ?

    La majeure partie des plantations de palmiers à huile est concentrée sur l'île de Sumatra et de Borneo faisant de la forêt Indonésienne la forêt tropicale la plus gravement touchée par la déforestation liée à la production d'huile de palme et au commerce du bois. Les prochaines victimes de cette expansion sans limite (13% chaque année depuis 2000) seront probablement la Papouasie, l'Amazonie ou l'Afrique Centrale.
    La biodiversité est grandement perturbée par ce bouleversement de son environnement naturel. Parmi la population de ces forêts tropicales plusieurs espèces déjà menacées telles que le Rhinocéros de Sumatra ou le tristement célèbre orang-outan.

    Comment agir ?

    La WWF se bat pour imposer le développement de l'huile de palme durable ou RSPO. Existant depuis 2008 la RSPO (table ronde sur l'huile de palme durable) contient des critères sociaux et environnementaux strictes à respecter. Parmi celles-ci : le maintien des zones à hautes valeurs de conservation, le respect du cadre juridique ou encore la réduction des émissions des gaz à effet de serre (GES).
    Le consomm'acteur peut également agir en quelques gestes simples :
    1. Limiter sa consommation de produits à base d'huile de palme ou portant uniquement la mention "huile végétale"
    2. Préférer les produits utilisant de l'huile de palme issue de l'agriculture biologique ou durable (RSPO).
    Deux gestes simples qui, en affirmant un rejet de l'exploitation abusive, pourront obliger les industriels à modifier leurs procédés de production.
    Certains distributeus proposent déjà des produits garantis sans huile de palme. C'est le cas par exemple de la gamme U Bio qui s'engage à supprimer l'huile de palme de la liste des ingrédients d'ici la fin de l'année 2012. Il faut noter que Casino était le premier distributeur français à ne plus s'approvisionner en Indonésie.
    Pensez-vous que cela servira d'exemple à d'autres grands distributeurs ?
    Sources : www.protegelaforet.com | www.wwf.fr
     

    lundi 21 janvier 2013

    "Depuis quelque temps, les banques racontent n'importe quoi.

    Coup de tonnerre dans l'univers financier Suisse. La suisse se couche encore sous le diktat des Européens et des USA.






    21.01.2013, 10:33 - Economie
    Actualisé le 21.01.13, 10:39
    Les banques pas catégoriquement opposées à l'échange automatique d'informations

    Les banques privées ne se disent pas catégoriquement opposées à l'échange automatique d'informations si cela devait être absolument nécessaires. Elles sont plus favorables à la variante d'un paiement forfaitaire.

    Dans le cadre du conflit fiscal, les banquiers privés préfèrent certes un paiement forfaitaire à un échange automatique d'informations. Mais pour obtenir l'accès au marché européen, ils peuvent aussi vivre avec cette exigence.

    Empêcher l'échange automatique n'est pas un but stratégique des banquiers privés, a déclaré Michel Dérobert, secrétaire général de l'ABPS (Association des banquiers privés suisses) dans une interview parue lundi dans le "Tages-Anzeiger" et le "Bund". "Pour nous, une telle solution" courrait vraisemblablement à l'échec.

    Selon M. Dérobert, dans tous les cas, le plus important est de trouver une possibilité pour que les clients, en porte-à-faux avec leur pays pour des raisons fiscales, puissent légaliser leurs fonds.

    Source: ATS
    “Les pays voyous, s’ils ne sont pas stoppés, ne s’arrêteront pas en si bon chemin: une fois l’échange automatique d’informations accepté, l’ingérence dans notre système fiscal suivra” Le 1er jancier 2011, Marie-Hélène Miauton « a remis à ses cadres l’entreprise de services [M.I.S. Trend] qu’elle avait fondée”. Elle “se consacre désormais à l’écriture”. Ce qui nous vaut ce livre de défense de la place financière helvétique qu’elle adresse au peuple suisse. Les citoyens suisses feraient bien de le lire, mais également le gouvernement, les hommes politiques et, pourquoi pas, dans un éclair de lucidité, les médias. Si la place financière helvétique est attaquée, ce n’est pas pour des raisons morales. Car la Suisse est à la fois un bouc émissaire parfait et un concurrent qu’il convient d’éliminer sans scrupules, par tous les moyens, même légaux. C’est un bouc émissaire parfait: “Cela évite de chercher plus loin, là où cela ne fait pas plaisir de gratter: le laxisme des finances publiques, le clientélisme de certains politiciens, les limites de l’Etat social.” C’est un concurrent qu’il convient d’éliminer, et qui, aubaine, se laisse faire: “Nous sommes en vérité hautement appétissants et [...] notre petite taille fait de nous un ortolan, juteux et facile à abattre.” Marie-Hélène Miauton montre que la Suisse ne doit pas sa prospérité à sa seule place financière, comme Jean-Jacques de Dardel, ambassadeur de Suisse à Paris, l’a amplement démontré dans un entretien accordé à la Tribune de Genève pendant la dernière élection présidentielle françaiseici. D’ailleurs: “La prospérité de la Suisse au cours des 90 dernières années ne provient pas uniquement de circonstances favorables, mais [...] elle repose sur des atouts qu’elle a acquis.” Quels sont les atouts des Suisses? L’application, le travail de qualité, l’esprit d’entreprise, une formation dispensée par des instituts de bon niveau, un grand nombre d’heures travaillées, peu de congés payés. Il en résulte que la Suisse occupe le 3e rang de la compétitivité mondiale suivant le classement de l’IMD et le 1er suivant celui du WEF et que les entreprises y jouissent de taux d’intérêt bas, d’impôts peu élevés, et surtout d’une stabilité politique, économique et sociale, qui est le fruit des institutions que les Suisses se sont donnés: “Le refus des citoyens à une adhésion [à l'UE] repose pour une bonne part sur la crainte de perdre leur démocratie semi-directe à laquelle ils sont très profondément attachés.” Contrairement à ce qui se raconte, les banques suisses sont parmi les plus efficaces au monde contre le blanchiment d’argent grâce à une forte réglementation. Elles sont aussi parmi les plus promptes à restituer aux pays l’argent des potentats: “[Sa place financière] ne profite pas de son seul secret bancaire pour damer le pion aux autres, qui, eux, utilisent impunément des outils d’évasion autrement plus efficaces.” L’auteur fait notamment allusion aux trusts (Myret Zaki l’expliquait de manière détaillée dansVive l’évasion fiscale) et aux réels paradis fiscaux qu’abritent les principaux pays détracteurs de la Suisse que sont les Etats-Unis (avec notamment le Delaware), la France (avec Monaco et Andorre, sans parler des cadeaux fiscaux accordés au Qatar) et la Grande-Bretagne (avec la City, qui est “le plus grand paradis fiscal de la planète”, et son archipel d’îles opaques). Le secret bancaire porte d’ailleurs mal son nom. Il protège le client, et non pas la banque, contre les menées totalitaires de l’Etat. Marie-Hélène Miauton fait une comparaison éclairante avec le secret médical: “Admettez qu’un jour l’évolution de la société permette de pénaliser le fait de s’exposer à une maladie (fumer et cancer du poumon, relations non protégées et sida, manger gras et cholestérol). Admettez qu’alors, l’UE ou les USA imposent aux médecins en Suisse de dénoncer de tels agissements qu’ils détecteraient chez leurs clients étrangers, sous prétexte que cela coûte cher à leur assurance-maladie (ce n’est pas social) ou qu’ils engorgeront les hôpitaux lorsqu’ils rentreront chez eux. Devrions-nous obtempérer?” Marie-Hélène Miauton rappelle quelle est tout de même “l’origine de la crise qui a frappé le monde entier”: “Des hypothèques américaines hasardeuses, des titrisations américaines obscures, des agences de notations américaines aveugles, des autorités américaines sourdes aux mises en garde…” Elle montre que le comportement des banques américaines n’est pas ce qu’il y a de plus moral et évoque plus particulièrement à l’appui le foreclosure-gate, que Vincent Bénard a fort bien dénoncé dans son livre sur le sujet ici. Pour parvenir à leurs fins de destruction de la place financière, les Etats-Unis ont employé des méthodes de voyous, celles même qui avaient été employées au moment de l’affaire des fonds en déshérence, telles que chantages et délations dont ils ont favorisé le jeu en cascade: “Ici, le banquier dénonce son client au fisc, puis le client en fait autant concernant son gestionnaire, là, un employé de banque balance son employeur; finalement les banques fournissent le nom de leurs employés aux autorités américaines, avec moult renseignements d’ordre privé encore !” Mais les subprimes, qui n’auraient pas existé sans l’intervention de l’Etat américain, n’expliquent pas tout: “Quoi qu’on en dise, les dettes de la France, de l’Espagne ou de l’Italie ne résultent qu’en partie de la nécessité de renflouer leurs banques puisqu’elles étaient préexistantes.” Les comportements de la France et de l’Allemagne ne sont pas plus moraux que ceux des Etats-Unis, puisque ces deux pays se sont faits, et se font, complices de recels de données volées et qu’ils se livrent également à des chantages inqualifiables. Face aux attaques mortelles de ces pays voyous contre la place financière suisse, comment le Conseil fédéral envisage-t-il de se battre? “En levant les mains bien haut, paumes ouvertes, genou à terre.” Sans contrepartie, il concède, de son propre chef, “l’assistance administrative élargie, l’assimilation de l’infraction fiscale au blanchiment, l’extension du devoir de diligence et l’auto-déclaration fiscale”. La place financière helvétique est en danger. Il n’y a pas de quoi se réjouir, car la Suisse seule pâtira de son amaigrissement forcé quand ses clients auront trouvé refuge dans les établissements des banques à Singapour, Hong Kong ou Londres, où elles auront délocalisé. Il faut donc maintenant arrêter les reculades. Le sauvetage controversé d’UBS a déjà coûté le renoncement à la distinction entre évasion fiscale et fraude fiscale pour les non-résidents, puis la livraison de noms d’un grand nombre d’entre eux, puis, pour tenter de sauver les meubles et ce qui restait du secret bancaire, la concession d’imposer à la source les revenus de leurs avoirs (accords Rubik). Maintenant il est question d’échange automatique de données: “Alors qu’il s’agissait au début des hostilités, de récupérer un argent légitime et nécessaire aux pays lésés par leurs propres contribuables, il n’est question désormais que du flicage pur et simple des citoyens sous prétexte de justice sociale.” Les pays voyous, s’ils ne sont pas stoppés, ne s’arrêteront pas en si bon chemin: “Une fois l’échange automatique d’informations accepté, l’ingérence dans notre système fiscal suivra.” Cette ingérence a déjà commencé avec l’adoption empressée par le Conseil fédéral d’une convention avec la France sur l’imposition des successions qui ne se fera plus au lieu de résidence du défunt, mais à celui de ses héritiers, contrairement pourtant aux règles de l’OCDE… C’est pourquoi Marie-Hélène Miauton rejette les tentations de céder ou de temporiser. Elle trouve préférable de lutter, c’est-à-dire, de manière concrète, argumentée, et résumée en fin d’ouvrage, de: “Mettre en place les structures permettant l’harmonisation des règles au niveau mondial; conditionner nos éventuelles concessions à notre participation au G20; nous créer des alliances; communiquer sur nos valeurs fondatrices; ne rien céder sans contrepartie; organiser des structures de veille pour casser les stéréotypes; invoquer nous aussi des mesures de rétorsion ["à la guerre comme à la guerre"]; se doter d’une entreprise de révision bancaire et/ou d’une agence de notation; réfléchir à nos structures organisationnelles pour mieux répondre à la guerre économique que nous vivons; initier une réflexion internationale sur la réglementation des produits financiers à problème ainsi que sur les dérives de la Bourse; nous montrer généreux grâce à un fonds souverain helvétique [la BNS détiendrait en devises 240 milliards d'euros...].” Ces pistes d’actions ont le mérite d’exister et d’être de vraies pistes, même si certaines d’entre elles sont discutables. En tout cas, comme dit un proverbe chinois, mis en exergue du dernier chapitre: “Les seuls combats perdus d’avance sont ceux qu’on ne livre pas.” Banques suisses, les raisons de lutter, Marie-Hélène Miauton, 192 pages, Slatkine Publication commune avec http://www.francisrichard.net/ Source: http://www.lesobservateurs.ch/2012/10/27/miauton/

    dimanche 20 janvier 2013

    La LAT vu par le vert Chistophe Clivaz


    mercredi 22 août 2012

    Etalement urbain: le Valais mauvais élève

    Article paru dans l'1dex
    J’ai déjà à plusieurs reprises eu l’occasion de parler du mitage du paysage dans de précédents billets de l’1dex et des différentes initiatives visant à trouver une réponse à ce problème. Alors que la récolte des signatures contre la révision de la LAT, dont l’objectif est justement de réduire l’étalement urbain, bat son plein, en particulier en Valais, j’aimerais cette fois vous présenter les résultats d’une étude qui a cherché à définir l’étalement urbain et à le mesurer.
    Cette étude, dont vous trouverez un résumé dans le No 47 de la Notice pour le praticien du WSL (Institut fédéral de recherche sur la forêt, la neige et le paysage), propose la définition suivante (p. 3) : « L’étalement urbain est un phénomène perceptible visuellement dans le paysage. Un paysage sera d’autant plus mité qu’il comportera de surfaces bâties, que celles-ci seront dispersées et que leur utilisation à des fins d’habitation ou d’emploi sera faible. » A partir de cette définition les chercheurs ont élaboré différents indicateurs permettant de calculer un indice de « prolifération urbaine pondérée ». Je vous passe les détails méthodologiques…
    Au terme de leurs travaux, ils arrivent à la conclusion que de 1951 à 2002, l’étalement urbain a doublé en Suisse, la situation pouvant varier fortement d’une région à l’autre du pays. Ils donnent ainsi comme bon exemple la région de Zoug qui a réussi à réduire son étalement urbain, avec il est vrai comme conséquence une augmentation du prix de l’immobilier (à mettre en rapport avec la politique fiscale du canton). Et comme mauvais exemple le Valais central (p. 6-7) : « En 1935, la prolifération urbaine pondérée en Valais central s’élevait à 0,4 UPU*/m2, ce qui équivaut à la moitié environ de la valeur au niveau national. Jusqu’en 2002, cette valeur s’est accrue de façon impressionnante, plus précisément de 703%, pour atteindre 3,2 UPU/m2 et dépasser de 44% la valeur comparative pour l’ensemble de la Suisse. (…) Le besoin de surface par habitant ou par emploi s’est considérablement accentué : de 163 m2 en 1935 à 302 m2 en 2002, il a quasiment doublé ; il est de 36% supérieur à la valeur comparative pour toute la Suisse. (…) En 1935, les zones non bâties ou faiblement mitées prédominaient. La surface bâtie a plus que triplé depuis 1935, couvrant 4262 ha en 2002. (…) Vu les grandes zones à bâtir non construites que l’on observe déjà aujourd’hui, une forte poursuite de l’étalement urbain est plus que probable en l’absence de contre-mesures radicales. » Les calculs des chercheurs se sont arrêtés à 2002, faute de données exhaustives plus récentes, et il suffit de regarder par la fenêtre pour savoir que la situation a empiré depuis 10 ans.
    A noter encore cette prise de position, curieusement peu relayée par les médias valaisans : « Il est irresponsable de porter au vote l’Initiative pour le paysage avec l’adoption d’un éventuel référendum ». Telle est la conclusion pour le moins claire de la Conférence suisse des directeurs des travaux publics, de l’aménagement du territoire et de l’environnement (DTAP) concernant la révision de la LAT. Le Conseil d’Etat valaisan serait donc « ir

    mercredi 16 janvier 2013

    Le débat Freysinger Varone.

    Un débat passionné par des passionné. Seul Yves Ecoeur distille sa médiocrité et son mal être.







    mardi 15 janvier 2013

    Le "Nouvelliste": le directeur général Patrik Chabbey licencié

    Le "Nouvelliste": le directeur général Patrik Chabbey licencié


    Sion (awp/ats) - Le directeur général du quotidien valaisan "Le Nouvelliste" Patrik Chabbey a été remercié avec effet immédiat par le conseil d'administration des éditions du "Nouvelliste". Une nouvelle organisation dans la gestion de l'entreprise est mise en place.

    Patrik Chabbey a confirmé à l'ats l'information donnée lundi par la radio locale Rhône FM. Un communiqué interne a été distribué au personnel du groupe Rhône-Média, qui contrôle le quotidien. Selon cette communication que l'ats a pu se procurer, le conseil d'administration du journal veut s'impliquer davantage dans l'entreprise.

    La nouvelle organisation managériale doit être davantage adaptée au contexte actuel. "Le conseil d'administration des Editions du 'Nouvelliste' a donc décidé de mettre un terme aux fonctions de M. Patrik Chabbey en tant que directeur général et éditeur du Nouvelliste", précise le communiqué au personnel.

    La fonction d'éditeur des titres du groupe et la direction générale seront assumée par Stéphane Estival. Il conserve ses fonctions de directeur général du groupe ESHMédias, actionnaire majoritaire du "Nouvelliste", et devient administrateur-délégué pour l'ensemble des société du groupe Rhône-Média.

    Avec cette nouvelle organisation, les conseils d'administration entendent renforcer et développer la marque "Le Nouvelliste" et les sociétés du groupe Rhône-Média. Ils auront aussi une prise plus directe avec les activités opérationnelles, précise le communiqué.

    ats/tt


    (AWP / 14.01.2013 18h31)





    Nous avons besoin des abeilles pas des OGM.

    Le 6 septembre 2011, dans l’affaire Bablok, la Cour de Justice de l’Union Européenne a décidé que du miel contaminé avec du pollen de maïs MON810 ne pouvait être commercialisé faute d’autorisation de ce pollen pour l’alimentation humaine. Cet arrêt indique également qu’un étiquetage est obligatoire au-delà d’une présence de 0.9% de pollens issus d’OGM autorisés dans l’alimentation humaine. Pour nos organisations, la décision a marqué, au plus haut niveau, la reconnaissance de l’incompatibilité de la culture des OGM avec l’apiculture. La conséquence logique de cet arrêt aurait dû être l’édiction par les Etats membres de règles visant à protéger l’apiculture contre les contaminations par les OGM. Malheureusement la Commission a préféré demander aux Etats membres d’attendre avant d’agir. C’est pourquoi, il y a un an, la pétition a été créée, puis enregistrée auprès de la Commission des pétitions du Parlement européen.
    Xylaps

    dimanche 13 janvier 2013

    Le courage des socialistes Valaisans.

    Vraiment cette gauche caviar est toujours aussi surprenante:



    LAT: le courage des socialistes valaisans

    Il faut du courage pour être seul contre tous. Dans sa propre famille, encore plus. Les représentants du Parti socialiste valaisan ont eu ce courage lors de l’assemblée générale du PS suisse, lorsqu’il a été question de la révision de la loi sur l’aménagement du territoire. Les délégués du Valais ont été les seuls à militer en faveur du non à une loi défavorable aux Valaisans.

    Xylaps.

    samedi 12 janvier 2013

    Freysinger Oskar, digne d'un lancement de film Holliwoodien







    Xylaps.

    jeudi 10 janvier 2013

    Si le climat était une banque, vous l'auriez dejà sauvé.







    Le climat se dérègle. A nous de jouer. Avons-nous le courage? Voulons-nous vraiment? Nos autorités politiques ne sont-ils pas trop frileux, trop impliqués dans les lobbys énergétiques. Soyons forts et osons le changement pour nos générations futures. Xylaps.

    mercredi 9 janvier 2013

    La France au bord de la crise de nerf économique.

    lundi 7 janvier 2013

    Ovronnaz l'acceuil au restaurant d'altitude déplorable.



    À croire que les professionnels du tourisme n'ont rien compris que l'acceuil avait une importance. Aux prix pratiqués dans les établissements touristiques du canton, nos hôtes ont droit à un acceuil de classe.
    CE N'ÈTAIT PAS LE CAS EN CE DIMANCHE 6 JANVIER 2013 Xylaps.

    Pourquoi sauvegarder la diversité.


    dimanche 6 janvier 2013

    La lex Weber

    Finalement la lex Weber est bénéfique pour le pays. La non acceptation de cette initiative populaire aurait profité qu'aux spéculateurs et aux promoteurs. L'industrie du tourisme doit faire avec, à elle de trouver des solutions créatives.




    http://www.rts.ch/video/emissions/infrarouge/4503113-application-de-la-lex-weber-version-courte.html


    Xylaps.

    Olivier Delaloye l'ami des apiculteurs.

    samedi 5 janvier 2013

    Adhésion: L'agriculture suisse est menacée sans l'Europe selon Jacques Janin - Suisse - lematin.ch

    Adhésion: L'agriculture suisse est menacée sans l'Europe selon Jacques Janin - Suisse - lematin.ch

    La suisse est sous pression. Un rapprochement à l EU paraît inévitable à long terme. Le peuple a signifié très clairement qu'une adhésion n'avait aucune chance. L'exercice politique devra être créative et une analyse sans fard de nos faiblesses envers l'Europe est nécessaire.

    L'agriculture suisse est menacée sans l'Europe selon Jacques Janin

    L'ancien directeur de la Chambre vaudoise d'agriculture prédit un déclin pour la Suisse si elle n'adhère ni à la communauté ni à l'euro.
    Il faudrait «combler chaque nouvelle appréciation du franc fort par rapport à l'euro». Jacques Janin propose en conséquence de recourir à «la monnaie verte» longtemps pratiquée par l'UE et réservée aux transactions liées la politique agricole commune.

     

    Édité à compte d'auteur, son livre «La Suisse et l'Union européenne sont faites l'une pour l'autre» (1000 exemplaires au total) est paru en français et en allemand. Jacques Janin y exprime de manière très directe ses convictions européennes. Le propos ne se limite pourtant pas à des souvenirs personnels, mais veut relancer une réflexion qui s'est effondrée 20 ans après l'échec de l'EEE.
    Contre le repli
    «Une agriculture suisse non euro-compétitive est condamnée à s'étioler», affirme le Vaudois né en 1939 et à la retraite depuis une dizaine d'années. Fils d'agriculteur passé par l'Université de Lausanne où il a obtenu le titre de docteur ès sciences économiques, il regrette un monde paysan aujourd'hui accaparé par l'UDC et tenté par le repli sur soi.
    En 1996, à l'appel de la Chambre d'agriculture devenue Prométerre, quelque 600 paysans se sont rassemblés à Cully (VD). Ils ont demandé au Conseil fédéral une accélération du rapprochement Suisse-Union européenne (UE), rappelle l'ancien responsable marqué par un voyage en 1961 dans le Berlin divisé par le mur.
    Même si les thèses en faveur de l'Accord de libre-échange agricole (ALEA), voire de l'adhésion, sont aujourd'hui battues en brèche, Jacques Janin martèle son credo. «Comme en matière de sécurité et de défense, l'espace stratégique de la souveraineté alimentaire s'élargit à l'espace continental», juge-t-il.
    Pour la Suisse, le maintien d'une production substantielle est nécessaire, mais le monde agricole est sur la corde raide. «Toujours plus minoritaires politiquement et dominés dans la filière agroalimentaire, les paysans risquent fort de se voir imposer (...) des conditions d'équivalence européennes, alors que leur environnement restera un îlot de cherté», redoute Jacques Janin.
    Euro-compétitif
    «Une agriculture sans industrie alimentaire est un voilier sans mâture», poursuit-il. Mais pour exporter, ces entreprises doivent produire à des prix euro-compatibles, ce qui oblige l'agriculture à les approvisionner à des tarifs euro-compétitifs, analyse l'élève du professeur Henri Rieben.
    Si le libre-échange à l'échelle du continent s'impose, il n'en demeure pas moins un pis-aller pour la Suisse à cause du problème du franc. «Pour l'agriculture (...), la conservation du franc suisse dans un espace de libre-échange dominé par l'euro serait intenable».
    Il faudrait «combler chaque nouvelle appréciation du franc fort par rapport à l'euro». Jacques Janin propose en conséquence de recourir à «la monnaie verte» longtemps pratiquée par l'UE et réservée aux transactions liées la politique agricole commune. Le Vaudois ne cache cependant pas que la meilleure solution serait à terme l'adhésion et l'adoption de l'euro.
    Très forte opposition
    Dire que la position de Jacques Janin ne fait pas l'unanimité tient de l'euphémisme. Jusque dans son propre canton, l'opinion est franchement contre. Les députés vaudois ont ainsi demandé début 2012 au Conseil fédéral d'interrompre les négociations sur l'ALEA. Au niveau national, le Conseil des États a voté en mars la suspension des négociations. (ats/Newsnet)
    Créé: 02.01.2013, 10h46

    Quelle place pour les utopies en 2013? Un monde propre et non pollué

    Le mensonge des industries polluantes. Regard sur l’écologie. Au moment où de nombreux gouvernements, particulièrement dans le monde occidental, sont avant tout préoccupés par des questions économiques et budgétaires, le mouvement visant à un meilleur équilibre entre l'homme et son environnement naturel, qui vise aussi la protection de l’environnement, a-t-il un avenir? Invitée: Martine Rebetez, professeure de climatologie à l'Institut fédéral de recherche sur la forêt, la neige et le paysage (WSL) et professeure à l'Université de Neuchatel.
    http://www.rts.ch/audio/la-1ere/programmes/forum/4533585-quelle-place-pour-les-utopies-en-2013-un-monde-propre-et-non-pollue-02-01-2013.html?f=player/popup#/la-1ere/programmes/forum/4533585-quelle-place-pour-les-utopies-en-2013-un-monde-propre-et-non-pollue-02-01-2013.html

    Xylaps

    Sauvons les abeilles.

    Aux actionnaires de Bayer:

    Nous vous appelons à voter immédiatement l'arrêt de la production et de la vente de pesticides néonicotinoïdes jusqu'à ce que de nouvelles études scientifiques indépendantes prouvent leur innocuité. Le déclin catastrophique des populations d'abeilles pourrait mettre toute notre chaîne alimentaire en danger. Si vous agissez dès maintenant et avec précaution, nous pourrons empêcher l'extinction des abeilles.
    http://www.avaaz.org/fr/bayer_save_the_bees_fr/

     
    Xylaps.

    Twitter / Xylaps : Les forêts vierges sont ...

    La production d'huile de palme est un vrai désatre pour l'environnement.

    Twitter / suisseblog : Lance Armstrong craque ! ...